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Polaroid Automatic Land 340

  • Photo du rédacteur: latelierdejp
    latelierdejp
  • 13 janv.
  • 12 min de lecture

Recherche rapide : .

Préambule

Si vous vous en souvenez, il y a quelques temps, j’ai consacré un article à la saga Polaroid.

Toujours curieux, j’ai cherché quelques uns des fleurons de la marque. Si beaucoup ne sont plus utilisables – car les films n’existent plus du tout (revoir l’article précité à ce sujet) – j’en ai transformé quelques uns en lampes d’ambiance et puis j’en ai trouvé que l’on pouvait encore employer, moyennant quelques concessions.

Donc, en plus d’un ou deux Automatic Land 320, j’ai fait l’acquisition récemment d’un Automatic Land 340, que vous allez découvrir.

Un mot sur les concessions à faire : d’abord, j’avais envisagé de pouvoir modifier l’un ou l’autre appareil pour utiliser des films Instax Wide ou Square (les plus grands) mais je n’ai pas encore trouvé les solutions qui me conviennent. Alors, il me restait à trouver des films Fuji en pack 100, forcément périmés mais entreposés correctement et à un prix décent.

C’est finalement grâce à un vendeur sur « appareils d’occasion » via FB que j’ai trouvé mon bonheur car le vendeur (merci Pierre), photographe lui-même, les a correctement sauvegardés mais en plus, ils ne sont pas trop vieux (2018). Enfin, cerise sur le pack, le prix était plus que raisonnable.

N’empêche que je n’utiliserai ces films que pour un projet bien précis, auquel je réfléchis encore, car le prix à l’unité est quand même plus cher qu’un film 600 ou Instax modernes.

Un peu d’histoire.

Au début de l’histoire des appareils Polaroid était le 95, sorti en 1948, qui utilisait du film en rouleau (type 40). Ces films, et les appareils qui les utilisent, vont progressivement se perfectionner, passant du Sépia des débuts au noir et blanc.

Mais en 1963 se produit un bouleversement important : l’introduction du pack-film en lieu et place des films en rouleau et introduction de la couleur. Les appareils évoluent aussi considérablement, comme le Polaroid 900 qui sera le premier au monde à proposer une exposition automatique.

Pour mémoire, le pack-film est un boitier qui renferme 10 films, représentés par un ensemble de deux feuilles, l’une étant le négatif et la seconde la photo. Lorsque le négatif est impressionné, le développement se fait lors du retrait de l’ensemble, via une bandelette qui fait passer le tout entre deux rouleaux métalliques dont le seul but est de compresser la substance chimique contenue entre les feuilles et de la répandre sur la photo pour assurer le développement et la fixation de l’image.

Le premier appareil à utiliser cette nouvelle technique est le Polaroid Automatic Land 100, en 1963.

Ces Automatic Land règneront jusqu’en 1972, date d’une nouvelle évolution majeure, le pack-film intégral SX-70 et le premier appareil du même nom. Ce nouveau pack-film contient toujours le négatif, la photo, la chimie mais on y ajoute une pile qui alimente l’appareil pour toute la durée du pack (10 feuilles).

C’est en 1981 que commencera une autre évolution, celle du pack-film intégral 600 et des appareils qui vont avec, les 600. Le film est quasi identique au SX-70, seules les sensibilités changent.

Il y aura encore un sursaut en 1986 avec l’introduction des films Spectra et des appareils Image System mais ils n’auront pas la longévité des films SX-70 et 600, toujours produit à l’heure actuelle, et je le répète, ce sont les seuls encore produit par Polaroid (encore une fois, voir l’article cité en préambule).

Les appareils Automatic Land ont tous en commun les éléments suivants :

Automatic

1 : Viseur avec ou sans télémètre (suivant modèle) 2 : Déclencheur 3 : Griffe pour flash (suivant modèle) 4 : Bouton du télémètre (suivant modèle) 5 : Echelle de portée du flash 6 : Bouton du télémètre (suivant modèle) 7 : Emplacement languette blanche 8 : Sélecteur de film 9 : Porte pour la languette jaune 10 : Cellule (suivant modèle) 11 : Objectif 12 : Branchement pour Flashcube (suivant modèle) 13 : Réglage lumière (Lighten/Darken) 14 : Levier du déclencheur

Pourquoi changer une équipe qui gagne ? Quasi du premier jusqu’au dernier modèle, les Automatic Land évolueront peu dans leur forme générale et les commandes essentielles ne changeront pas de place.

Les premiers films disponibles ont des dimensions de 8,5×10,5cm, leur développement se fait hors de l’appareil, assez rapidement (en fonction de la température) et s’appellent Polapan 107 (N/B à 3200Asa) et Polacolor 108 (couleur à 75Asa).

Si la gamme commence avec l’Automatic Land 100, elle de déclinera avec les numéros suivants :

  • 1964 : 101, 102, CU-5 Close-up

  • 1965 : 103, 104, 125, 135, 180, Swinger (20), 415, M15, Instant portrait (4×5)

  • 1967 : 210, 220, 230, 240, 250

  • 1968 : 215, 225, 3000 (Big Swinger), M-10, Special Events 228 (high volume)

  • 1969 : 315, 320, 325, 330, 335, 340, 350, 360, colorpack II, IV, ED-10 Intrument

  • 1971 : 420, 430, 440, 450, Countdown 70, 90, Big Shot, Colorpack 80, 82, 85, 88, ZIP, Super colorpack, IV, Square shooter, Miniportrait, 701, 703, 704, 706, CU-5, ID-3 Indentification

J’ai volontairement sauté quelques années qui ont vu la production d’appareils trop spécialisés. Si vous voulez voir à quoi ceux-là ressemblaient, je vous invite à les découvrir sur l’excellent site de Polaroid Passion. Et si l’envie vous prend de consulter l’ensemble des caractéristiques des films produits pour ces appareils, vous les trouverez sur l’autre excellent site Landlist.ch.

Comme je l’écrivais plus haut, la plupart des appareils sont semblables, extérieurement. C’est en dedans que les choses évoluent, subtilement : on passe des lentilles en plastique à celles en verre, on ajoute un minuteur pour les temps de développement, les cellules affinent leur sensibilité, la visée devient télémétrique, puis télémétrique couplé, de l’électronique s’embarque, etc.

Un petit tableau vous montrera un exemple de ces évolutions (merci Collection-appareils).

*le 320 n’a que 2 lentilles en plastique au lieu de 3, en verre ; **le 350 possède un compte-temps électronique et plus mécanique

Et puis des compléments optiques viendront améliorer les possibilités de certains boitiers, un retardateur mécanique pourra être ajouté sur quelques modèles, des accessoires pour utiliser des flashs électronique, par exemple.

Généralement, les Automatic Land sont vendus avec un boîte en plus ou moins faux cuir afin d’assurer le transport de l’appareil et de ses accessoires.

Présentation du Polaroid Automatic Land 340.

L’Automatic Land 340 est donc semblable au 320 et 330 mais il va nous proposer quelques améliorations : le viseur, avec télémètre couplé indépendant, se rabat pour une meilleure protection sous la coque en plastique qui sert aussi de « sac tout prêt ». Il propose 4 réglages pour la sensibilité des films (qui ont aussi évolué), allant de 75 à 3000Asa et il y a dorénavant 4 réglages d’exposition, notés sur le dessus du combiné objectif/obturateur, nous y reviendrons.

Le viseur à lui seul retient l’attention. Il y a deux fenêtre à l’arrière : la première pour le cadrage, la seconde, ronde, est celle du télémètre couplé, avec correction de la parallaxe. Lorsque vous bougez les barrettes de réglages de la distance, le patch du télémètre suit. D’autres modèles ultérieurs auront le télémètre inclus dans le viseur (une seule fenêtre).

Il se rabat donc vers l’avant pour être protégé par la coque en plastique qui sert de « sac tout prêt » et de fourre-tout aussi car on y place le réchauffeur, le mode d’emploi et … les photos développées. Un aimant solide le maintient en position une fois rétablit à la verticale.

Je vais revenir sur nombre de choses écrites mais avant toute chose, pour que l’appareil fonctionne, il faut changer les piles ! En effet, initialement, il était équipé d’une pile de 4,5v au mercure, heureusement interdite depuis 1996 en Europe. Enfin, quand j’écris heureusement, c’est facile à écrire car pour trouver un équivalent en pile alcaline, c’est impossible. Il va falloir bricoler un peu …

Tout d’abord, s’assurer que la pile n’a pas coulé et que les fils et contacts ne sont pas oxydés. Si c’est bon, défaites le fil enroulé autour du support (fil blanc = positif, fil noir = négatif) et essayez de récupérer la petite pastille en métal, vous pourrez la souder sur les contacts du nouveau container à piles.

Dans le cas contraire, tirez sur les fils pour les extraire seuls et coupez environ 1cm pour éviter l’oxydation qui a pu remonter sur le câble. Vous les nettoierez puis soudez-les sur les contacts du nouveau porte-piles

Pour éviter le massacre à la pince que j’ai déjà trop vu sur Internet, il suffit de déposer les 3 vis qui sont dans le compartiment pile pour sortir l’intérieur de la poignée. Puis, avec un petit appareil de type Dremel monté avec un disque coupant au diamant (industriel, je précise), voire avec une petite scie à fil, vous coupez les plastiques qui constituaient le clip de la pile. Un conseil, coupez en biais pour descendre assez bas car vous allez devoir installer un porte-piles de 3×1,5v = 4,5v, que vous trouverez sur un grand site chinois ou chez un revendeur en électronique.

Remontez le tout en remettant en place la pièce métallique au centre (le clip pour la porte du compartiment), soudez les fils, installez les piles, c’est prêt.

Pour vérifier que le montage est juste, un petit truc : armez l’appareil, couvrez la cellule avec la main, déclenchez puis ôtez votre main. Vous devrez entendre 2 clics qui se succèdent, vous assurant que l’obturateur s’est bien ouvert et fermé. Par cette manœuvre toute simple, vous aurez simulé une luminosité trop faible qui oblige l’appareil à recourir aux vitesses lentes (10sec.) et lorsque vous retirez votre main, la cellule envoie un signal à l’obturateur qui se referme immédiatement, d’où les 2 clics.

Si vous trouvez la démarche compliquée, armez l’obturateur, ouvrez le dos de l’appareil (soufflet ouvert bien sûr) et déclenchez : vous verrez l’obturateur s’ouvrir et se fermer.

Revenons donc sur quelques éléments cités plus haut.

A l’avant, soufflet déployé, se trouve le bloc optique et obturateur, qui contient aussi toute « l’électronique » de l’appareil, cellule y comprise, le fameux « œil » électronique. Faites attention au câble entouré d’une gaine spiralée en métal, ne le croquez pas, c’est la commande du déclencheur. De l’autre côté du soufflet, vous verrez les fils sous gaine qui vont vers l’alimentation. Faites-y attention si vous devez remonter la poignée, de ne pas le coincer ni, pire, le couper.

L’exposition est automatique, c’est-à-dire que la cellule, selon la sensibilité du film et la lumière détectée, va régler l’ouverture, allant de f8,8 à f46 et ouvrir l’obturateur dans les vitesses allant de 10s à 1/1200s. Il semble que ce soit un appareil à priorité ouverture.

Pour le reste, c’est un Polaroid, donc très facile d’usage et en plus, ils sont assez didactiques : des chiffres vous indiquent la séquence des manœuvres. Le 1 c’est pour soulever la barre de réglages des distances, qui libère le soufflet. Le 2 est noté sur le déclencheur (quoique personnellement je l’aurais placé sur le levier d’armement de l’obturateur car si vous oubliez de l’armer, rien ne se passe), le 3 devrait être sur les réglages de la sensibilité (une fois, pour la totalité du pack) et pas sur le levier d’armement, un 5 sur le réglage selon que vous êtes en intérieur ou extérieur car le 4 est sur la porte qui vous permet de tirer sur la languette blanche pour faire sortir la photo prise, et j’ajouterai un 6 pour le réglage de la minuterie derrière, pour mesurer le temps de développement.

Parlons du pack-film d’ailleurs : vous ouvrez la porte en libérant le gros loquet, en dessous, puis vous glissez le pack-film dedans et refermez. Faites attention que la grosse bande noire soit bien vers l’extérieur car vous devrez fermement tirer dessus pour faire sortir le papier de protection qui enveloppe les films dans le pack. Ce papier se jette. En tirant dessus, vous aurez aussi libéré une languette blanche, celle de la première photo, sur laquelle vous devrez tirer fermement et d’un mouvement continu pour faire non seulement sortir la photo prise mais aussi pour l’obliger à passer entre les rouleaux qui vont écraser la chimie entre les deux feuilles et lancer le développement proprement dit. Si vous trouvez que ce n’est pas assez clair comme explications, regardez la vidéo mise plus bas à ce sujet.

Un mot encore sur la minuterie. Si elle était nécessaire au temps des films Polaroid, elle ne l’est plus avec les films Fuji, plus modernes et plus rapides et, surtout, qui se développent d’eux-mêmes jusqu’au bout. Dès lors, le « réchauffeur » inclus dans le set de l’appareil ne sera plus nécessaire. Cet accessoire, deux feuilles d’aluminium tenues ensemble comme un portefeuille par un collant en tissu (qui se décolle souvent), servait à y glisser la photo sortie de l’appareil pour la maintenir au chaud, dans une poche par exemple, jusqu’à ce que le temps de développement complet soit achevé.

Un mot sur l’optique car ici l’objectif est en verre à 3 éléments (triplet de 114 mm f8.8) et non plus en plastique, comme sur le 320 ou le 330. Par contre le corps du boitier est en plastique et métal, alors qu’un modèle 350 sera tout métallique et profitera dès lors d’un filetage pour un trépied.

Il existe encore des réglages sous la platine objectif/obturateur, notamment pour le réglage de la sensibilité des films. Ici, vous avez 4 réglages : 75 – 150 – 300 – 3000 Asa, les premiers chiffres concernent les films couleurs, le dernier, les films en N/B.

Puis il y a encore une tirette qui, lorsque vous l’actionnez, fait bouger des cases sur le dessus du combiné : ce sont les réglages pour les prises de vue au flash (carré jaune) ou sans (carré noir) selon que vous êtes en intérieur ou en extérieur.

Pour vous donner une idée des ouvertures selon les sensibilités des films, voici un petit tableau récapitulatif utile (ou pas).

Un mot sur le flash spécifique à la gamme Land : c’est le flash 268, reconnaissable à sa protection bleue en plastique et qui utilise les ampoules M3, en verre avec culot métallique. On en trouve encore dans les brocantes, les vides-greniers et autres, souvent à prix abordable. Le flash se greffe sur le haut, à gauche, de l’appareil et la prise se fiche sur la gauche du combiné optique/obturateur. La protection bleue doit être en bon état et toujours refermée lors de l’utilisation d’une ampoule car celle-ci pourrait éclater et expulser de fins débris de verre à la volée.

Vérifiez aussi systématiquement l’état de la pile dans le flash car elle a souvent été oubliée et dans ce cas, cherchez en un autre exemplaire car l’acide aura tout rongé. Il suffit d’ôter les deux vis sous le flash pour faire tomber la plaque de sécurité et avoir accès à l’intérieur. Vous pouvez y placer une pile AA de 1,5v moderne.

Pour le réglage des distances, il suffit, appareil entre les deux mains, de pousser ou tirer du bout des index les 2 curseurs marqués 1 vers la gauche ou la droite. En vérifiant dans le viseur du télémètre, vous verrez le patch jaune se superposer à l’image fixe (télémètre à coïncidence). Une échelle de distance, avec des pictogrammes, permet aussi une mise au point rapide mais moins précise.

Que penser de l’appareil ?

Sorti de 1969 à 1971, c’est un appareil bien construit, pour peu qu’on le respecte. En effet, l’oubli de pile à l’intérieur en a ruiné plus d’un. Ensuite, le soufflet mérite toute votre attention car il peut se décoller et se froisser si vous le malmenez. Des réparations sont possibles mais hasardeuses. Mieux vaut alors trouver un appareil donneur pour procéder à un échange. Des tutoriels existent sur la Grande Toile pour cette opération délicate.

Pour d’autres manipulations, comme le changement de pile, le chargement, etc. je vous recommande le site suivant : Ressurect a Polaroid Land Camera.

J’ai eu la chance d’acquérir un très bel exemplaire, dans sa boite d’origine, avec le mode d’emploi, le flash (neuf), quelques ampoules en M3 et des accessoires peu communs : le retardateur Polaroid et un complément optique, le filtre orange (#516) de la marque.

Le filtre se clipse sur l’objectif et le devant de la cellule, tandis que le retardateur se vise sur le déclencheur. D’autres compléments optiques existaient, comme pour faire des portraits, des close-up, etc. Tous les modèles de la série Automatic Land ne pouvaient recevoir ces accessoires (par exemple, pas le 320 mais bien celui-ci et le 350).

Personnellement je trouve cet Automatic Land 340 intéressant, pour son format et son côté vintage assumé mais je regrette que les films Fuji soient si difficiles à trouver dans des prix réalistes et acceptables (allez faire un tour sur Ebay pour mieux comprendre). Enfin, ne nous leurrons pas, ceux-ci ne font plus partie de stocks inépuisables et ils finiront bien un jour par ne plus exister du tout. Appel du pied au nouveaux propriétaires de la marque Polaroid pour relancer cette production qui en rendrait plus d’un heureux !

Mais ne boudons pas notre plaisir de faire de belles photos instantanées à l’ancienne avec ce bel appareil, qui ne vous laissera pas passer inaperçu.

Et puis, pratiquer la photo instantanée c’est comme revivre à chaque fois la magie de la photographie, celle de l’instant où se révèle l’image qui vient d’être prise, là, entre vos mains.

Il faut toutefois ne pas oublier que ce plaisir à un coût, non négligeables avec ce type d’appareil ancien.

Mais ces photos vous apporteront aussi un négatif, que vous n’aurez pas avec les moyens modernes de photos instantanées. Ce négatif, vous pourrez le retravailler si besoin, en faire des œuvres indépendantes, bref, innover … comme le faisait les anciens utilisateurs des Automatic Land.

Au niveau prix, sachant tout ce qui a été dit auparavant, ne jetez pas votre argent par les fenêtres : vous ne devriez pas dépenser plus de 40€ pour un bel exemplaire complet et utilisable. Notez que j’ai déjà vu des prix affolants pour certains modèles particuliers de la gamme. Soyez raisonnable, faites-vous plaisir mais ne vous laissez pas pigeonner par des aiglefins dans scrupules car il y aura encore le prix du film ensuite à prendre en considération.

Oui, je sais, quand on aime, on ne compte pas …. mais quand même !

Videos d’illustration

Pour le charger

Si vous avez le cœur bien accroché, osez ce dernier film (moi j’ai pas pu aller au bout !).

Un peu de technique

Mise au point télémétrique séparée et viseur à correction de parallaxe Mise au point manuelle du télémètre couplé Vitesses d’obturation de 10 secondes à 1/1200 s Objectif en verre 114 mm f/8,8 à 3 éléments (triplet) Plage d’ouverture f/8,8 à f/46 Exposition automatique à priorité d’ouverture avec l’aide de « l’œil électrique » Compensation d’exposition à l’aide du cadran d’éclaircissement/assombrissement Film série 100/660, format négatif/impression 8,8 x 10,5cm Minuterie de développement mécanique (inutile de nos jours car le film Fuji se développe automatiquement) Corps en plastique et métal Batterie 4,5 V remplacée par 3 piles de 1,5v (modification à faire)

Possibilité d’adjoindre des compléments optiques et un retardateur mécanique.

Des références

 
 
 

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