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Le Nikon F2S (Nikon F2 + DP-2)

  • Photo du rédacteur: latelierdejp
    latelierdejp
  • 21 août 2024
  • 12 min de lecture

Recherche rapide:

Préambule.

Savez-vous pourquoi je ne suis pas collectionneur ? Je n’ai aucune patience … n’empêche, celui-ci ça doit faire deux ans que j’attendais d’en trouver un bel exemplaire !

Grâce à la collection pour laquelle j’ai écris un article, j’ai pu en acquérir un, comme je les aime, un peu patiné, avec une âme, des traces d’autres photographes.

Mais que je vous raconte l’histoire de ce Nikon …

Un peu d’histoire.

A l’origine était le Nikon F (1959 – 1973).

Lancé en 1959, ce reflex allait révolutionner le monde photographique professionnel : enfin un appareil fiable, qui donnait l’image vue dans son intégralité, facile d’utilisation et inscrit dans un système qui devait lui permettre de répondre à toutes les attentes des photographes professionnels.

Ce reflex sonnait le glas du Leica, télémétrique, qui dominait une partie du monde des photographes pro et enterrait le Rolleiflex, réflex bis-objectifs, qui régnait sur l’autre partie des professionnels.

Un reflex est un appareil qui donne une vision complète de l’image car vous regardez à travers l’objectif ce que vous allez capter. Toutes les modifications de l’image sont vues en temps réel : distance, netteté et même profondeur de champ. Un confort appréciable quand il faut aller vite !

Assez compact, le F a été construit autour d’un télémètre de la marque, auquel on a ajouté un prisme pour la visée directe. Entièrement mécanique, il reprend les boutons de commande du télémètre couplé SP.

Les changements qu’il introduisait allait être la feuille de route des reflex mono-objectif de l’après Nikon F.

Ainsi, le miroir à retour rapide : les appareils allemands et quelques japonais avaient aussi un miroir mais qui restait en position haute une fois la photo captée. Il fallait réarmer pour le faire descendre. Avec un miroir à retour rapide, il n’y a pour ainsi dire pas d’interruption de la visée car le photographe voit toujours la scène.

Pour cela, il fallait ajouter un diaphragme automatique, qui se fermait uniquement pendant la prise de vue. Auparavant, sur les autres réflex de l’époque, il fallait ouvrir le diaphragme pour faire la mise au point, puis le refermer à la valeur donnée et ensuite seulement déclencher. L’image aperçue était généralement sombre. L’avantage de cet ancien système était de pouvoir voir la profondeur de champ immédiatement. Pour ne pas se priver de cet outil, Nikon introduit sur le F un bouton poussoir qui permet de fermer le diaphragme pour voir la profondeur de champ puis se relâche automatiquement.

Ensuite, le prisme, qui redresse l’image dans le bon sens sur le dépoli, contrairement aux images vues sur un TLR (style Rolleiflex) qui sont inversées gauche-droite.

Sans oublier le viseur à pentaprisme, très lumineux et qui couvre 100% du champ de la photographie

Puis la monture, la F en l’occurrence, qui assure un couplage rapide et sûr avec les objectifs. Malgré quelques modifications au fil du temps, pour répondre aux besoins des nouveaux modèles, la monture F fut longtemps la seule chez Nikon.

Pour l’anecdote, j’ai ainsi pu monter une optique 35 – 80mm AF sur le Nikon D4s.

A cette base, solide, allait s’ajouter des éléments utiles pour couvrir les besoins spécifiques des photographes professionnels.

Par exemple, les verres de visée, interchangeables (19 au total) ; puis, un détail mais qui a toute son importance, un dos démontable pour faciliter la rapidité de chargement et pour permettre d’utiliser des dos avec des spécificités, comme celui équipé d’un magasin de 250 vues (30m de film) ou motorisé.

Et selon la légende, l’appareil était sorti en finition chrome mat mais à la demande de certains reporters sur le front au Vietnam, il fut aussi peint en noir.

De 1960 à 1970, le Nikon F fut partout : pour illustrer les sports, pour dénoncer la guerre absurde du Vietnam et les autres, pour le portrait en studio et dehors. Bref, incontournable ! Il incarnait à lui seul le reflex « pro. »

Seule ombre au tableau : bien qu’il fut produit à plus de 860.000 exemplaires, le Nikon F était toujours en rupture de stock devant les immenses attentes du public. Simplement parce que Nikon ne voulait pas se départir de sa philosophie de respecter le client en lui apportant l’appareil le mieux construit possible.

Pourtant, il a évolué, par petites touches, avec notamment l’adjonction de prismes avec cellule, les Photomic, jusqu’à ce que Nikon lui désigne un successeur : le Nikon F2, en 1971.

Présentation de l’appareil.

Si le Nikon F était l’appareil idéal à son époque, il était possible de l’améliorer sans renier ses qualités car la concurrence se réveillait : la firme allait surtout le perfectionner et augmenter ses performances parce que le public désirait des appareils plus sophistiqués.

Ainsi, le Minolta Srt 101, le Pentax Spotmatic présentaient des améliorations dans la technologie SLR, introduisant la mesure TTL intégrée au boîtier et une mesure moyenne de la lumière plus précise.

Nikon était le roi incontestable du reflex (SRL) et comptait bien le rester, aussi dès 1965, ils ont commencé à réfléchir au développement d’un successeur.

Le développement a commencé en mettant l’accent sur le respect de quatre exigences :

  1. La plus haute qualité possible

  2. Facilité d’utilisation et prise de vue la plus rapide possible

  3. Compatibilité totale et

  4. Fonctionnement automatique

Dès 1970, un prototype allait préfigurer ce que serait ce successeur : la vitesse de fonctionnement de l’obturateur en feuille de titane à déplacement horizontal a été augmentée de deux fois pour atteindre 10 ms (millisecondes) et la vitesse d’obturation à grande vitesse de 1/2 000s a été nouvellement incorporé dans le mécanisme de l’obturateur ; une came de contrôle de vitesse variable de haute précision a été adoptée pour permettre des vitesses d’obturation intermédiaires de 1/80 à 1/2 000s, en continu ; la synchronisation du flash fut poussée au 1/80 sec. (contre 1/60 s pour le Nikon F) ; une vitesse d’obturation ultra lente, modifiable entre 2 et 10 secondes a été possible grâce à l’introduction d’un retardateur, réglable.

Le miroir a été agrandi (de 28 à 30mm) pour éviter un « noir » sur ce dernier en cas d’utilisation d’objectif à longue focale.

Les prismes Photomic ont été améliorés pour qu’apparaisse l’indication de la vitesse et la valeur d’ouverture dans le champ de vision.

Le verrou pour ouvrir le dos, qui ne se retire plus mais reste escamotable est monté sur charnière, passe sur la semelle. Le déclencheur avance sur le capot supérieur pour plus d’ergonomie.

Le logement de la batterie (dans la semelle) et le commutateur du posemètre passent sur le boitier pour réduire la taille de la tête de l’appareil. Enfin, les formes ont évolués, en arrondissant les côtés pour qu’il soit plus agréable à tenir en mains.

Les différents prototypes ont franchi toutes les épreuves et il était temps de passer à la mise en production. Seulement voilà, toujours confronté à essayer de répondre aux demandes de Nikon F, Nikon a pris un peu de temps pour présenter le successeur.

Le lancement du F2 fut effectif en 1971 et son accueil par les professionnels fut … mitigé, au début.

Ils étaient tellement habitués et contents de leur bon vieux Nikon F que sa fabrication fut prolongée jusqu’en 1973, en parallèle de la production du nouveau. Cette série de F aura ses leviers d’armement et de retardateurs dotés d’embouts en plastiques, comme ceux du petit nouveau.

Si on résume rapidement, quelles sont les différences entre le Nikon F et le F2 ?

  • une gamme de vitesses plus étendues, de 10s à 1/2000s (1s à 1/1000s pour le F)

  • prisme Photomic DP-1 avec une cellule de EV1 – EV17 à 100Asa (EV2 à EV17 pour Photomic FTn du F)

  • utilisation d’une pile « moderne » de 1,5v (pile au mercure de 1,35v pour le F)

  • dos à charnière (dos amovible pour le F), démontable

  • accepte différents moteurs d’entrainement (le F demande un appairage du module moteur)

La gamme des accessoires du F2 sera encore augmentée dont de nouveaux prismes avec une évolution du système de mesures. Ils seront finalement 6 : le DP-1, le DP-2, le rare DP-3, le DP-11 et enfin le DP-12. N’oublions pas le DE-1, un simple prisme sans cellule et quelques autres viseurs sans cellule.

Finalement, ce sont les prismes qui donneront la référence à l’ensemble des boitiers/prisme car les boitiers sont tous identiques. Il y aura donc :

  • F2                      F2 + DE-1

  • F2 Photomic     F2 + DP-1   (Pré-AI)

  • F2S Photomic    F2 + DP-2   (Pré-AI)

  • F2SB Photomic F2 + DP-3   (Pré-AI)

  • F2A Photomic   F2 + DP-11 (apparu en 1976, avec le couplage AI)

  • F2AS Photomic F2 + DP-12 (couplage AI)

A terme, on supprimera le mot Photomic des références et on parle ainsi de F2, F2AS, etc. Même Nikon dans certaines brochures oublie parfois le mot Photomic.

Je reprends la liste, située dans le temps cette fois :

  • Nikon F2 équipé du DE-1, 1971-1976

  • Nikon F2 Photomic équipé du DP-1, 1971-1976

  • Nikon F2S Photomic équipé du DP-2, 1973-1976

  • Nikon F2SB Photomic équipé du DP-3, 1976-1977

  • Nikon F2A Photomic équipé du DP-11, 1977-1980

  • Nikon F2AS Photomic équipé du DP-12, 1977-1980

Leur apparence et les sensations varient. Certains modèles utilisent une aiguille pour indiquer l’exposition et d’autres des diodes. La sensibilité de la mesure est également différente selon les modèles.

Mais, si vous avez bien suivi, un F2 change de nom et de comportement uniquement à cause ou grâce à son prisme. Le boitier lui reste strictement identique. C’est là un coup de génie car il suffit de faire évoluer son appareil en achetant le prisme qui correspondra aux besoins.

C’est en septembre 1971 que sera présenté, avec les formes, le nouvel appareil car s’il avait été divulgué dans la presse dès le mois d’août, ce sera à l’occasion d’avant-premières à Tokyo, puis Osaka, Sapporo, Fukuoka, Sendai, Hiroshima et Nagoya que plus de 3000 invités découvriront le boitier : des photographes professionnels, des distributeurs et quelques amateurs finement sélectionnés.

Ensuite, Nikon organisera la Tokyo Nikon Fair dans le grand magasin Keio à Shinjuku (du 17 au 22 septembre 1971) pour présenter au public le nouveau Nikon F2 : 260.000 amateurs se précipiteront, et encore 230.000 lors du Japan Camera Show le mois suivant. Un succès !

Le nouveau Nikon F2 allait avoir fort à faire avec la nouvelle concurrence du Canon F-1, du Minolta XK et de l’Olympus OM-1. Mais ils n’ont pas (encore) réussi à le détrôner : il reste la référence en termes d’appareil professionnel inscrit dans un système très complet d’accessoires. Je vous renvoie à une brochure présentée par NikonPassion pour plus de détails sur ces derniers.

Même le F3, son successeur a mis du temps à s’imposer car son électronique n’inspirait pas confiance au photographes professionnels. Le F2, plus encore que le F initiateur, est considéré comme le reflex absolu : il fonctionne tout le temps et les piles (2 LR44 ou une CR1) ne servent qu’à alimenter la cellule et sa « mécanique ».

Un F2 accompagné de la tête DP-12, qui sera donc un F2AS, est considéré comme LE reflex de référence et un des meilleurs de tous les temps !

Le F2 a pourtant un défaut (surtout si on ose le comparer à un homologue Nikon récent), c’est son poids. Tout est en métal là-dedans, peaufiné pour tourner comme une Ferrari, mais il est impératif d’acheter une lanière bien rembourrée pour le porter confortablement. Cela vous obligera aussi à penser au objectifs que vous allez prendre pour l’accompagner lors d’une sortie, car eux aussi sont lourds, de qualité, mais lourds.

En 1977, avec les derniers modèles donc, apparait un changement important : la monture et le prisme DP-12 sont mis à jour pour la nouvelle monture dite Ai (Automatic indexing).

Petit aparté utile : la monture du F est dite non Ai ou pré-Ai.

Les objectifs non Ai ont une broche de couplage d’ouverture juste en dessous de f/5,6. Lorsqu’ils étaient utilisés sur des appareils photo fabriqués avant 1977, vous deviez « indexer  » l’objectif sur le compteur de l’appareil photo en montant l’objectif, puis en vous rappelant de faire pivoter l’objectif jusqu’à sa plus grande ouverture et vers l’arrière (f/2 dans le cas du 50mm de dotation par exemple) afin que le compteur soit correctement calibré. Oubliez de le faire et vos expositions pouvaient être très à côté de la plaque (j’en ai fait l’amer expérience avec un Nikkormat FTn qui fonctionne de la même manière).

Vous pouvez reconnaître ces premières lentilles à :

  • un broche d’accouplement solide.

  • pas de crête de couplage au bas de la bague d’ouverture.

  • pas de deuxième ensemble de petits numéros d’ouverture sur la bague d’ouverture.

En 1977 survient un changement dans la monture, qui devient Ai. Enfin, on pouvait monter une optique sans devoir tourner la bague d’ouverture, en un seul geste. L’indexation était automatique (Ai).

Vous pouvez reconnaître les objectifs AI par :

  • une arête d’accouplement au bas de la bague d’ouverture. (regardez près de f/8 sur l’objectif 50 mm ci-dessus.)

  • un second ensemble de petits chiffres d’ouverture qui, sur d’autres boîtiers, vous permettaient de voir l’ouverture dans le viseur grâce à de petites lentilles qui les fixaient. Cette lecture du viseur est appelée ADR, pour lecture directe à l’ouverture, et l’échelle des petits nombres est appelée échelle ADR.

  • les deux petits trous supplémentaires dans la broche de couplage pour laisser la lumière atteindre f/8 et f/4 afin qu’ils soient faciles à lire dans le viseur.

La plupart de ces objectifs étaient équipés de diaphragmes automatiques. Le diaphragme est maintenu ouvert contre la pression du ressort pendant que vous visualisez l’image. Lorsqu’une photo est prise, le levier de l’appareil photo libère cette goupille. L’objectif s’arrête très rapidement jusqu’à l’ouverture que vous avez réglée sur l’objectif (ou réglée par l’automatisation de l’appareil photo), jusqu’à ce que la goupille soit à nouveau poussée par l’appareil photo pour ouvrir le diaphragme une fois la photo prise.

En fonction donc de l’année de fabrication et du prisme, l’appareil reçoit un objectif non Ai ou Ai. Donc un appareil fabriqué en 1974 devrait être équipé d’un objectif non Ai avec indexation manuelle, mais si vous lui greffez un prisme DP-12, il devient un appareil qui accepte les objectifs Ai, sans indexation manuelle.

Ici en l’occurrence, le boitier que je possède est daté semble-t-il de 1974 et il est équipé d’un prisme DP-2, c’est donc un Nikon F2S Photomic.

Je suis d’accord avec vous, ce n’est pas évident de prime abord, mais en étant attentif, on commence à comprendre les choses et la logique …

En 1980, lorsque le F2 a été abandonné, les photographes professionnels ont soulevé un tollé. Alors qu’au fil du temps, le F3, qui a remplacé le F2, est devenu un classique culte à lui seul : les photographes étaient nerveux à l’idée de passer à un appareil photo qui dépendait de piles pour fonctionner. Cela vous donne une idée de la qualité de ce F2, réputé incassable et de l’attachement des professionnels à leur outil de travail.

Quand je pense que de nos jours il faut se fier à une quantité de batteries qui se vident plus vite que le temps de tirer quelques photos ! Sauf sans doute le matériel professionnel (si je m’en réfère aux 3020 déclenchements prévus pour un batterie du Nikon D4s), en tout cas les reflex car pour les hybrides …

In fine, l’utilisation de l’appareil est simple : vous visez, faites la mise au point avec l’objectif (stignomètre à coïncidence), réglez la vitesse en fonction des indications données par le DP-2 ou l’ouverture (flèches rouges dans le viseur) et vous déclenchez.

Ce genre d’appareil est truffé d’astuces pour faciliter la vie du professionnel, pourtant il y a des choses étranges, comme le contact pour le flash : si vous regardez bien, il n’y a pas de griffe sur le prisme. Pourtant il y a des prises PC pour flash. De fait, il faut un accessoire spécial qui se place au dessus de la manivelle de rembobinage et qui portera le flash. Ou la bonne vieille méthode du flash déporté, qui tient sur une base couplée à l’appareil.

Que penser du Nikon F2S ?

Il peaufine encore la philosophie de son ainé, le Nikon F :

  • un concentré de technologie pour l’époque : viseurs à pentaprisme interchangeables, miroir à retour instantané, large gamme d’optiques montée sur la baïonnette F,

  • visée à 100% de l’image : le photographe voit se que l’appareil voit, sans perte.

  • modèle fiable, 100% mécanique, robuste, compact (pour l’époque), capable de s’adapter à toutes les situations grâce à une grande modularité,

  • modèle qui évolue au gré des évolutions techniques (les viseurs montent en gamme avec des cellules de plus en plus sensibles)

L’ergonomie a été revue et les angles arrondis du boitier le rendent plus agréable à prendre en mains.

De par sa robustesse légendaire, cet appareil est toujours utilisable de nos jours. Attention, il ne fera « rien pour vous » (pas d’autofocus, de programmes) mais il fera tout ce que vous lui demanderez, sans faillir.

Sur mon exemplaire, j’ai juste nettoyé tous les « verres », remplacé la mousse du miroir et remis une pile dans la semelle. Tout fonctionne.

N’était-ce son aura particulière, je serais tenté de dire que c’est un très bon appareil d’écolage si on veut se lancer dans l’argentique.

De nos jours, on peut en trouver sans trop de difficultés mais les prix sont parfois renversant. Comptez normalement entre 150 et 200€ pour un boitier avec un prisme et un objectif.

Pensez à vous équiper d’une bonne sangle, confortable, car c’est du tout métal ici et avec un objectif on dépasse vite le kilo et demi.

Reste que cet appareil fait partie de ceux qui ont marqué l’Histoire de la photographie. Pourtant – et là je vais me faire incendier mais j’assume – il sera le dernier roi de Nikon : Canon venait de lancer son New F-1, lui aussi inscrit dans un système destiné aux professionnels et qui allait remplacer le Nikon dans les stades, sur les champs de guerre, les studios glamour, etc. Avant le coup fatal de la gamme Eos qui balaiera tout sur son passage.

Ceci étant, quel bel appareil et quel plaisir de l’utiliser !

Videos d’illustration.

Petit résumé

Le plus complet (mais c’est long)

La totale !

Un résumé de la gamme pro argentique de chez N

Un peu de technique.

Appareil photo reflex mono-objectif 35 mm à obturateur à plan focal (viseur interchangeable) Viseur interchangeable (6 types différents) Ecran du viseur interchangeable (19 types différents) Grand miroir reflex sans vignettage avec mécanisme de miroir à retour rapide, possibilité de fixer le miroir vers le haut Ouverture de l’objectif de type à retour instantané avec fonction de verrouillage Mesure d’exposition pondérée centrale à ouverture totale, contrôle manuel de l’exposition. Plage de mesure EV1 à 17 avec film ASA/ISO 100 Obturateur à plan focal en feuille de titane, Vitesses d’obturation : 10 ms, T, B, 1 à 1/2 000 s. avec des vitesses d’obturation intermédiaires disponibles de X (1/80 sec.) à 1/2 000 sec. vitesses d’obturation ultra-lentes possibles de 2 à 10 secondes. Synchronisation flash à X (1/80 sec. ou moins) Dimensions (environ) 152,5 x 102 x 65 mm (corps seul) Poids (environ) 840g (corps seul)

Des références.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Nikon_F2, https://www.kenrockwell.com/nikon/f2.htm, https://www.mir.com.my/rb/photography/hardwares/classics/nikonf2/prisms/index.htm, https://imaging.nikon.com/imaging/information/chronicle/history-f2/, https://casualphotophile.com/2018/11/05/nikon-f2-camera-review-nikons-pro-slr-evolves/, https://photothinking.com/2019-04-20-nikon-f2-ultimate-legend/, https://emulsive.org/reviews/camera-reviews/nikon-camera-reviews/the-nikon-f2-an-everyday-camera-for-the-21st-century, https://fstoppers.com/film/film-camera-end-all-film-cameras-long-term-review-nikon-f2-481837, https://imaging.nikon.com/imaging/information/chronicle/rhnc04f2-e/index.html, https://mikeeckman.com/2019/01/the-rotoloni-report-3-this-is-war/(pour tout savoir sur l’histoire de Nikon jusqu’aux années ’50), https://www.kenrockwell.com/nikon/nikortek.htm#ais (pour essayer de comprendre quelque chose aux objectifs Nikon) en anglais ; https://forum.nikonpassion.com/index.php?topic=210265.0, https://lemag.nikonclub.fr/focus-nikon-f/, en français

 
 
 

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